Bonjour,
Il y a quelques petits malins qui ont su profiter des bons niveaux de la Moselle avant la crue, même sur la Chiers c’était sympa. Quelques images tournées par Nico avec un bel ombre très rare sans nageoire dorsale et qui s’est pris un camion 😉 :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=VHldaBoupjk&feature=player_detailpage[/youtube]
En attendant que cela baisse, vous pouvez toujours pêcher en réservoir (c’est ici).
à bientôt.
Yannick
Bonjour,
Aujourd’hui c’était l’ouverture de la pêche à la mouche au Moulin Neuf, un temps magnifique et beaucoup de carbone plié. Ce qui fait plaisir à voir c’est que même les bambins s’y mettent et prennent vite goût à batailler avec les « monstres » de l’autre côté (Halloween oblige ;-)).
De minis Coridas où l’adversaire est toujours gracié:
Mais parfois n’est pas le taureaux celui qui croit, c’est le pêcheur qui est alors gracié:
[vimeo width= »600″ height= »400″]https://vimeo.com/110658977[/vimeo]
à bientôt.
Yannick
Bonjour,
La rivière n’arrête pas de faire le yoyo, pas facile de trouver une fenêtre pour y tremper les mouches d’autant qu’avec cette douceur les éclosions sont très faibles. En attendant les premiers frimas, c’est sous l’eau que cela se passe pour l’instant. C’est en regardant le blog de Laka qui se passionne pour la noyée que je me suis remis à monter quelques unes de ces mouches qui coulent! Ce que j’avais oublié c’est que l’automne c’est aussi la saison des feuilles mortes à défaut d’être toujours celle des ombres. Le bas ne ligne n’aime pas bien ces petites hélices végétales qui tournicotent dans le courant d’où la nécessité de ne pas pêcher fin pour éviter la crise de nerfs!
Donc voilà, je me suis noyé dans les noyées:
[vimeo width= »600″ height= »400″]https://vimeo.com/109597174[/vimeo]
à bientôt.
PS: n’oubliez pas le réservoir çà commence le 1 novembre!
Bonjour,
Bientôt la dernière ligne droite avant la fermeture de la première catégorie. Les poissons ont bien profité de la remonté des débits en Août mais les pêcheurs viandox aussi. Alors la pêche reste moyenne. Encore peu d’insecte en surface et c’est donc sous l’eau qu’il faut aller chercher les poissons mordeurs. A ce petit jeu les ombres sont les plus coopératifs.Vivement les premiers frimas pour voir un peu de voiliers défiler et aller plus bas en seconde. Bon visionnage:
[vimeo width= »600″ height= »400″]https://vimeo.com/106469529[/vimeo]
En bonus deux vidéos de Nico qui s’est bien mis à la pêche à la nymphe, les ombres avaient pris chère ce jour là:
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=GqqQX_J3Wps&feature=player_detailpage[/youtube]
là c’était les barbeaux sur la Moselle (81 cm pour le plus gros!):
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=XFAHXWfsOk0[/youtube]
Et puis on est passé à la télé, édition du 16 septembre!:
http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/emissions/jt-local-1920-c-est-en-lorraine
à bientôt.
Bonjour,
Ce n’est pas le nom d’un nouveau débit de boisson mais les couleurs du jour.
Non seulement le pt’io il attrape des poissons mais maintenant il monte aussi les mouches pour çà.
Alors quand je lui ai dit que j’avais lu dans Pêche-mouche que les poissons voyaient mieux la couleur rouge et bien il a fait un streamer rouge.
Comme c’était mercredi aujourd’hui il a pu l’essayer dans l’eau du réservoir cristalline…
Et bien cela marche:
Pour ceux qui veulent essayer ne venez pas le dimanche 8 décembre car il y a le concours Henry Ilien du GPS Moselle, si non c’est ouvert tous les jours.
A bientôt.
Bonjour,
Je n’ai jamais vu un automne aussi pluvieux pour l’instant . Très difficile de trouver des niveaux compatibles avec la pratique de la pêche à la mouche en rivière.
Il faut donc se rabattre sur le réservoir. Là l’eau est encore chaude (9 à 10°C) et les poissons bien actifs.
Après le passage de l’eau trouble due aux crues, c’est l’eau claire des sources qui a pris le relais pour le bonheur des pêcheurs à vue.
Il n’y a plus qu’à aiguiser les hameçons et à écraser les ardillons…www.domainedumoulinneuf.com
A bientôt.
Bonjour,
C’est fait le printemps est bien installé, le soleil de retour et les températures clémentes sont bien plus agréables pour le pêcheur. Pour les truites il faut profiter d’un nuage ou choisir une bordure à l’ombre. Le fond commence à verdir et les insectes avec.
Le choix du niveau de l’imitation est primordiale pour décider les truites à prendre. A ce petit jeu l’oreille de lièvre est reine mais encore faut-il trouver le bon dosage dans la collerette: plus ou moins fournie et plus ou moins claire. Attablées dans une coulée les truites n’ont qu’à ouvrir le bec et se déplacent très peu, il faut être précis dans les lancers et éviter que la mouche ne drague. Quand malgré cela, çà ne marche pas, une des solutions est d’humecter la mouche et de la faire draguer sous la surface comme une noyée, le ferrage doit alors être mesuré pour éviter la casse. Les truites ont repris du poil de la bête et ont une patate d’enfer, les luttes sont parfois à l’avantage de l’adversaire mais avec un fil bien solide et un hameçon fort de fer on limite les casses.
Et la récompense est au rendez-vous comme cette première belle truite prise par mon pote Julien (maintenant papa!), qui en bon gars du Sud-Ouest à lâcher un « Pétâârree… », une fois la bête dans l’épuisette:
Un poisson de toute beauté:
Les parties de pêche sont éprouvantes y compris pour le matériel:
Les poissons se gavent d’insectes et sont ronds comme des ballons de rugby:
Dans les champs, l’herbe est maintenant bien verte, elle fera du bon foin.
Désolé pour le film, comme j’ai prêté mon ordi, il n’est pas entier, un teaser pour mettre l’eau à la bouche…juste une taffe :
[vimeo]https://vimeo.com/64786975[/vimeo]
Pour la suite faudra patentiez quelques semaines,
A bientôt.
Cliquer sur les photos, c’est plus joli…
Bonjour,
La France est quand même un beau pays avec des Régions et des paysages très différents. L’avantage de faire de la compétition, même si c’est pas forcément compréhensible dans un loisir où la contemplation est primordiale, c’est que l’on va pêcher dans des endroits où on aurait jamais eu l’idée d’aller. A plus de 600 kilomètres de chez moi, le Velay est un de ces endroit pittoresque où le dépaysement est garantit.
A l’entrée un grand M jaune sur fond vert nous signale que l’on est entrée dans cette région de la Terre du Milieu:
A 1000 mètres d’altitude, les arbres n’ont toujours pas de feuilles et les maisons ressemblent à des morceaux de pierre:
Le matin nous seront réveillés (enfin surtout moi car je n’avait pas de sac de couchage haute-altitude et un petit malin avait coupé le chauffage!) par une température qui fige l’eau. Sur le Mont Mézenc la neige s’est déposée pendant la nuit (je rappel que l’on est le 6 mai). Heureusement contrairement à l’Orodruin, cette ancien volcan ne crache plus de flammes, encore que cela aurait pu réchauffer l’atmosphère. Bref on ne vient pas ici par hasard, il faut avoir une bonne raison et celle-ci est le Lignon, pas celui du Forez, celui du Velay (dans celui-ci il n’y a pas d’ombres, ils ne résisteraient pas!).
Les truites qu’il abrite sont protégées par un climat viril. Alors que les mouches de Mai commencent à sortir ici, là-bas les marchbrowns montrent à peine le bout de leur nez. La grêle, le vent et les hectolitres d’eau au mètre carré rappel que la canne à mouche est un bien frêle instrument pour affronter de telles conditions. L’herbe de bordure est recouverte par 40 centimètres d’eau mais celle-ci garde une certaine transparence filtrée par les tourbes qui s’accrochent à la roche volcanique. Les truites ont bien du mérite pour vivre dans cet environnement, elles vivent comme les Yacks en groupe et l’on peut faire des doublés. Il leur faut un minimum de 3 ans pour atteindre 23 centimètres:
Alors imaginer l’âge du plus gros poisson du concours, un monstre de 41 centimètres. Pour ma part je dépasserais deux fois les 30 centimètres, un exploit:
Comme les truites, les hommes et les femmes qui vivent ici sont nés ici, ils ont les mains caleuses et le dos vouté mais la chaleur de leur cœur n’a d’égal que leur gentillesse et eux au moins ils sont heureux de voir débarquer des touristes au mois de Mai.
En plus il peut faire beau plusieurs fois par jour et quand le soleil apparaît la beauté lugubre des lieux s’illumine:
Je ne pensais pas m’attacher à un tel lieu mais y pêcher au mois de juillet cela doit vraiment être pas mal. En plus je suis repartit avec l’anneau, cela motive:
Merci aux organisateurs et à mon Frodon (il avait prévu le coup en achetant la panoplie complète Guy Cotten) et peut-être à une prochaine fois sur les terres du Mordor…
A bientôt.
PS: pour ceux qui voudrait quelque chose de moins torride c’est ici:
Bonjour,
Simplement faisant suite à mon article précédent, pour ceux qui hésitent encore à casser la tirelire:
http://www.yellowstoneangler.com
Les conclusions sont à peu près les mêmes que les miennes:
« The Winner – Again! Last year in our 5-weight shootout, the Hardy Zenith blew everyone else out of the water with a rod that was just magical. So this year we knew that Hardy would again be a force to contend with. I’ve been fishing a 9 foot #4 Hardy Zenith most of this past season and have been impressed with how well the rods fished, and what a versatile rod it was- fishing everything from dries to streamers. But this rod was relatively stiff, and certainly needed a GPX 4-weight line to make it perform. They also had an 8 foot #4 Zenith, but I wasn’t particularly impressed with that rod and stuck with the 9 foot #4.
But this year Hardy gave us a much lighter 8 ½ foot #4 that is just fantastic! When we picked up the rod, it was like WOW, this thing is light and has such a low swing weight- let’s see how it casts. Very quickly we could see that this rod was going to be another winner. Much like the 9 foot #5, it has good butt and mid section power and tracks so perfectly that you feel like you know just where your fly is going. This rod has a nice soft tip that allows for wonderful feel and accuracy in close, but then I need to reach out and throw some line, there is plenty of power on tap, and it threw extremely tight loops at 60 feet, even in the wind. »
Pour ceux qui ne sont comme moi avec la langue de Shakespeare, Google traduction est ton ami (même si Google cause pas bien la France!):
« Le gagnant – Encore une fois! L’année dernière, dans notre 5-poids fusillade, le Zénith Hardy a soufflé tout le monde hors de l’eau avec un bâton qu’il avait tout simplement magique. Ainsi, cette année, nous savions que Hardy serait encore une force à combattre. J’ai été pêcher un pied 9 n ° 4 Zenith Hardy majeure partie de cette dernière saison et j’ai été impressionné par la façon dont les tiges pêché, et ce d’une tige flexible c’était la pêche tout de sèche à banderoles. Mais cette tige était relativement rigide, et certainement besoin d’un GPX 4-poids en ligne pour faire exécuter. Ils ont également eu un 8 pieds # 4 Zenith, mais je n’étais pas particulièrement impressionné par ce que la tige et collé avec le pied 9 # 4.
Mais cette année, Hardy nous a donné un beaucoup plus léger de 8 ½ pieds # 4 qui est tout simplement fantastique! Lorsque nous avons ramassé la tige, il était comme WOW, cette chose est léger et dispose d’une telle balançoire faible poids-nous allons voir comment il jette. Très vite, nous avons pu voir que cette tige allait être un autre gagnant. Tout comme le pied 9 # 5, il a une bonne fesses et la section de puissance à mi et suit si parfaitement que vous vous sentez comme vous savez où votre mouche qui se passe. Cette tige a un bon pourboire douce qui permet de sensation merveilleuse et la précision dans la fin, mais j’ai besoin de tendre la main et jeter un peu de la ligne, il ya beaucoup de puissance sur le robinet, et la jeta boucles très serrées à 60 pieds, même dans le vent. »
Bonjour,
Voilà c’est reparti, encore une nouvelle saison de pêche à la mouche qui recommence. Je devrais en avoir marre, m’intéresser à autre chose, mais non me voilà de nouveau au bord de l’eau à regarder les mouches défilées et les rares truites en poste les gober. Je suis comme elles je prends mon élan, après deux bon mois à ronger le frein il faut lâcher les chevaux. C’est trop bon. Comme les truites je rate ma proie trop vive au regard de ma sortie de léthargie. J’y reviens avec plus de conviction et le poil de concentration que j’ai perdu. La truite à gober, le fil s’est tendu, c’est tout bon, chacun se contorsionne de chaque côté de la ligne mais la bataille est perdue d’avance et l’épuisette est toute neuve! Lovely Trout, je ne l’ai pas embrassée mais le cœur y était.
Show must go on…
