Bonjour,

Voilà c’est fini, on ne va pas se la refaire sur le bord d’une rivière, truites, ombres et brochets vont restés tranquilles. Avec cette saleté de grippe aviaire, impossible d’ aller sur le Lac de la Madine, encore un cygne mort retrouvé en début d’année. Fallait si attendre à vouloir surprotéger, sans prédateur naturel, ces oiseaux ont proliféré, jusqu’à 1000 sur le lac. Certes ils n’avaient pas beaucoup d’impact pour nous pêcheurs à part quelques charges par les mâles et surement une prédation involontaire des œufs de poisson collés aux algues qu’ils consommaient, mais sur les autres oiseaux ce n’est si pas évident.  Donc la nature met de l’ordre dans tout cela. Dommage que la maladie n’atteint pas les cormorans. Il a fallût donc trouver un autre lac pour satisfaire nos envie de tremper les streamers.  On en a trouvé un surpêché aux leurres mais en No-Kill, du coup à la mouche c’était plutôt pas mal avec des poissons pas facile à trouver et localisés mais réactifs. Pour le choix des couleurs, on est resté sur du classique: temps claire => streamer clair, temps sombre => streamer fluo. Et pourtant à la fermeture Loulou s’est fait mettre une pile par son pote le matin avec un petit streamer chartreux alors que le temps était clair. Peut-être une question de luminosité car l’après-midi c’est le claire qui a mieux marché. Pour l’instant je n’ose pas encore trop pêcher en noir ou foncé mais à priori des association noir/orange ou noir/chartreux fonctionnent très biens comme pour la truite. Vue que l’eau était autour de 4°C il fallait pêcher en S5 ou S7 pour aller chercher les poissons prêts du fond dans 3 ou 4 mètres. Pourtant les attaques se faisaient parfois proches de la surface à la remontée du streamer, surement par des poissons suiveurs. Pour les animations, le jerking avec des tirés courtes et sèches a mieux fonctionné que le linéaire en rooly polling (alors que parfois c’est l’inverse). Les hameçons texans et Arex facilitent la pêche en passant facilement dans les tas de branches (sur et dans l’eau) mais occasionnent un peu plus de loupés. La taille des hameçon semble importante pour bien positionner le piquant sur la longueur du streamer et compenser l’épaisseur des fibres. Un 8/0 en tête et un 4/0 en queue en Patridge Predator est l’association qui a causé le moins de décrochage, mais là attention aux branches! Un petit coup de lime s’impose régulièrement car dans ces pêches sur le fond ils peuvent s’émousser contre les galets.

Bon voilà pour la technique, maintenant les images des deux dernière sorties, bon visionnage:

N’oubliez pas de me contacter si vous souhaitez réserver pour l’ouverture du brochet fin avril, si la Madine réouvre (il y a de grandes chances), les places vont être chères sinon il y aura toujours les autres lacs!

Merci et à bientôt.

Yannick

www.domainedumoulinneuf.com

Bonjour,

Hier c’était grosse journée pêche avec les copains: Julien covoiturait Stan qui venait d’Epinal et on devait se rejoindre avec Benjamin et son copain Sebastien.

Benjamen nous avais mis la pression en prenant des journée de vacances en début de semaine pour traquer la grosse et il avait très bien réussi en pulvérisant son record avec un poisson de 60 cm:

Et il avait aussi fait bien d’autres poissons dont cette très jolie truite:

Il m’avait prévenu il faut faire quelque chose, à un endroit les truites n’ont plus d’eau, ils ont fermés les vannes. A 23H00, je lui envoi un mail en disant: "t’inquiètes j’amène la Clef Anglaise". Il a pris cela à la plaisanterie mais a moins rigolé le lendemain quand je me suis ramené avec un énorme clef à molette d’1 kg. Comme dit julien il la faisait pas en dorée alors pour la pêche on la prise en argent! Mais on pêchera quand même un peu les truites avant de réouvrir les vannes! Le matin je faisait équipe avec Benjamin, on a rien vue juste un petit gobage qui n’était malheureusement pas le fait d’une belle truite:

Sébastien, un pote à Benjamin le rejoignit. Ils avaient décidé d’explorer de nouveaux coins plus en aval, je rejoignis donc l’équipe du Sud de la Lorraine (Julien et  Stan) qui n’avait pas vu grand chose n’ont plus à part des ombres. En les attendant je sauvais déjà la bredouille en piquant une petite truite du haut de la passerelle. Après avoir acheter le casse croute (des américains géants), on remonta vers l’amont. Arrêt au premier pont, julien repère un brochet sous une arche, je le tente j’ai un streamer? La touffe de plumes oranges coule gentiment vers le bec, je l’anime un peu, pas de réaction, encore un peu et attaque éclaire du fauve qui repart avec le stream, le 14% n’a pas aimé les dents accérées du requin d’eau douce, dommage il avait l’air joli. On va plus loin et on trouve un parking. Aller on va manger au bord de l’eau, et là je vois une vaguelette se former. Stop! On descend un peu plus bas pour admirer le spectacle. Là, sous son arbre pendant que l’on se rassasiait, elle s’est goinfré pendant 20 minutes. C’était un coup pour gaucher. Après la énième frite, une dernière gorgée de bière, julien s’y attaqua. Il avait la baraqua et remis le couvert dans l’après-midi, j’en ai profité pour le filmer:

En fin d’après midi on a eu droit un mini coup du soir et vu des truites plus ou moins grosses qui gobaient:

et je terminerais en appotéhose en nymphe à vue sur un très très joli poisson:

Il n’a pas demandé son reste pour repartir à l’eau:

De l’autre coté l’équipe du Nord a également trouvé quelques gros fish. Grâce à Julien on a quand même remporté le match avec un joueur de plus cependant (mais c’était un remplaçant qui avait décidé d’envahir le luxembourg plutôt que de prendre des truites; désolé Stan* 😉 !):

Equipe Nord: 50 et 55 + une casse

Equipe Sud: 30, 40, 49, 52 et 56

A la fin de la partie, je suis allé réouvrir les vannes avec la Clef Anglaise pour redonner vie à la portion de la rivière qui était presqu’à sec (on appel cela du terrorisme écologique je crois!). J’espère que cela suffira pour assurer une longue vie à quelques un de ces superbes poissons.

A bientôt.

* Merci à Stan pour les photos et vidéo de la remise à l’eau.

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Bonjour,

Samedi dernier, j’avais passé quelques heures agréables avec mon frère qui était en vacances, à tenter quelques belles qui gobaient sur la Chiers et cela nous avait plutôt bien réussit, à lui comme moi:

Tous ce petit monde était reparti à l’eau en pleine forme:

Aujourd’hui cela fesait 2 jours que je n’avais pas trempé une mouche, c’était déjà trop pour moi. Il fallait que je trouve une solution. J’avais un RDV de boulot dans les Vosges à 14h00 à l’autre bout de la Lorraine et il fallait que je sois rentré à 19h00 pour m’occuper des enfants. Cela allait être très chaud d’autant que l’endroit où j’allais c’était les basses Vosges avec pas une seule rivière pêchable à l’Horizon. La seule possibilité pour moi était de faire un léger détour par la Meuse au retour, mais allais-je avoir assez de temps? J’en avais fortement envie car l’ami Ben avait remis à l’eau 4 très belles truites ce week-end et avait cassé sur une grosse. C’est sûr les jolies étaient de sortie, le dieu de la nymphe à vue venait tout les jours, un signe qui ne trompe pas, il avait surement repéré une totoche. Ben m’avait prévenu, les basses eaux obligeaient à pêcher très fin mais le jeu en valait la chandelle.

En partant du bureau, sans trop y croire je décidais donc de mettre la quatre brins dans le coffre avec mon petit chespack . Le RDV se déroula impeccablement et à 16h j’étais sur l’autouroute, le régulateur de vitesse sur 130 Kms/h. En arrivant à 17h00 au bord de l’eau j’aurais une demi-heure pour pêcher, le pied (de fou)!  Le temps était idéal, je savais que les giboulées déclenchaient les éclosions et l’activité des truites. J’arrivais à 16h44 sous ce qui semblait être de la grêle. Le temps de refaire mon bas de ligne avec une longue pointe en 10%, le ciel s’éclaircie et la première truite était repérée. Posée détendu en amont, petite animation et…fuite du poisson. Bon, la mouche ne semblait pas lui plaire, je changeais la phaisant tail en h17 pour une autre plus petite en h19. Je tentais un autre poisson plus loin posté sur le fond mais celui-ci ne semblait pas actif et je pense qu’il m’avait repéré. En arpentant les berges, je retrouvais un poisson actif, apparement pas vilain. Posé de la nymphette, elle vient voir, je ferre, trop tôt, B…. D.. M…. quel C… ! Allez, elle n’a rien compris et continue son manège. Nouveau posé, elle navigue puis se retourne et croque ma nymphe. La bataille ne fut pas à la hauteur de la taille du poisson mais j’étais quand même bien content quand elle arriva dans l’épuisette. Dans l’eau je ne la voyait pas si grosse ou plutôt si longue: une truite assez maigre comme il y en a en début de saison mais elle dépassait d’un centimètre mon record en nymphe à vue. En une demie-heure j’avais réalisé le hold-up parfait.

La séance photo fut courte pour ne pas fatiguer la belle, donc pas de
photos en faisant le kakou avec la truite dans les bras.

Dans la voiture
au retour je me demandais comment j’allais raconter cela sur mon
blog…

A bientôt et surtout relâchez vos rêves.

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Bonjour,

La désintoxication doit se faire progresivement, donc après avoir pris une bonne sniffée (humide) de pêche avec Hervé sur la Vologne le dernier jour de mars, quoi de mieux pour commencer avril que de partir deux heures pour voir si les éclosions ont bien suivi le décalage horaire. Les premières bouffées viendront sous-forme de petites éphémères grises qui dérivent au fil de l’eau. Un peu comme les premiers carrés de chocolats, je me dit qu’elles seront les dernières, mais non, la première barette arrive à la vue de ce rond en fin de lisse, vite consommée:

Puis c’est l’euphorie qui guette, ces assiettes bien creuses au bout du miroir y sont pour quelque chose:

Méthodiquement, je profite de chaque plat, un à un me remplisse l’esprit, c’est fait je suis ailleurs:

 Même pas le temps de me ressaissir, que l’ivresse me gagne quand j’entends ce plouf en face de moi. Je regarde en l’air, non ce n’est pas moi qui suis décendu de mon nuage et l’arbre le plus près est bien loin pour être la source de ce bruit. J’insiste, en vain; Pensant que le plaisir était terminé, je vais m’éloigné mais de nouveau un plouf me ramène à la réalité ou sur mon nuage je ne sais plus très bien. Changement de piqure, quelque chose de plus gros, de plus dense, de plus fort vogue au fil de l’onde. Une fois, deux fois mais pas trois, ma main c’est levée vers le ciel comme pour remercier les dieux:

La fièvre s’estompe, mais je suis en manque, il me faut trouver de nouveau quelque chose. Je marche, scrute, observe mais plus rien. Ici il n’y a pratiquement plus d’eau pour éteindre l’incendie, mais sur la droite une étincelle le ralume mais le feu ne prend pas: loupé. Encore plus haut c’est la dernière chance avant le retour sur terre, un gros momment de plaisir pour une nymphe si légère:

Le téléphone sonne, me réveil de ma transe; ai-je revé? Je reparts pourtant avec des souvenirs bien réels:

J’ai eu ma dose pour un bon petit momment jusqu’au prochain manque…

à bientôt.

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Bonjour,

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours fait l’ouverture. Parfois uniquement l’après midi car il y avait école le samedi matin. C’est toujours un moment où je me sens fébrile. Même si je n’ai plus l’impatience d’avant, c’est avec autant de délice que je savoure ce retour vers les rivières. C’est un peu comme retrouver un ami de longue date, on se demande s’il aura changé, s’il aime toujours les mêmes choses, on a cette petite appréhension qui s’évapore cependant dès que la rencontre a lieu.  L’ouverture c’est également un moment de convivialité que j’aime partager. Après les préparatifs du soir souvent accompagnés de boissons à boire avec modération, il y le moment du matin où l’on se sépare pour aller chacun dans son coin près de la rivière. Puis l’on se retrouve dans la matinée pour évaluer la situation: alors çà a donné quoi de ton côté? Le pour et le contre sont pesés, on révise parfois sa stratégie. Il y a ce cri de joie de la première belle prise, les premiers emméllages (parfois avec son voisin!), les premières remises à l’eau, les premières photos, bref l’ouverture c’est le moment des premiers, aussi heureux que les premiers pas d’un enfant. Puis vient le moment du casse croute où l’on se dit tout avec un bout de la rivière dans le coin de l’œil, on finit ce que l’on n’a pas bu la veille (d’où la modération!), on sort le saucisson et les rillettes, les chambrages et les éclats de rire fusent, on a l’impression que le temps n’a plus de prise sur nous. Sauf que derrière il y a toujours ce petit bruit de clapotis qui fait que l’on ne s’éternise jamais. Voilà le soir, cette journée tant attendue est déjà finie, soit c’est le retour au bercail soit c’est la fête avec les copains. Quoi qu’il soit arrivé , cette ouverture restera dans nos mémoires pour avoir encore un peu plus à se raconter l’année suivante. Vraiment j’aime ce moment.

A l’année prochaine….

Bonjour,

Voilà encore une année qui se termine, toujours plus vite toujours plus forte. En début de saison je vous racontais mon bleues de la pêche, et bien il est bien loin. L’envie est revenue comme  au premier jour. Il faut dire que la saison a aidé. Elle a été exceptionnelle aussi bien en nombre qu’en taille de prises, en rencontres et en partages de bonheur. Car c’est bien cela qui m’intéresse maintenant. J’ai du allé deux fois à la pêche seul cette année sinon toujours avec mon fils ou des copains. L’année prochaine j’attaquerai ma 34ème saison de pêche à la mouche et il y a toujours à apprendre c’est cela qui est dingue dans cette pêche. Cette année on a beaucoup progresser sur la pêche du brochet à la mouche: montage et taille des mouches, animation, profondeur de pêche, choix des postes et horaire d’activité. Mon fils et moi avons enfin passé la barre du mètre (le « enfin » c’est juste pour moi car lui l’a fait à l’âge où moi je débutais à la mouche!) et parfois des scores de baby foot. Voici pèle mêle les plus belles prises de l’année même si finalement ce n’est sûrement pas le plus important, et le dernier film de l’année (désolé pour le timeless, un jour j’arriverai peut-être à faire fonctionner une gopro!).

Sur ce, je vous souhaite tout le bonheur pour cette nouvelle année qui va commencer avec de l’eau dans les rivières et des rêves plein la tête…….et bien-sûr n’hésitez pas à me contacter si vous voulez que je vous emmène à la pêche aux brochets, venir sur le réservoir ou s’héberger en gîtes:

à bientôt.

Yannick

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Bonjour,

Après trois années de sécheresse, cette année il y a enfin de l’eau, du moins en surface car en réalité le déchargement des nappes phréatiques est un peu plus précoce que l’année dernière car il a eu un peu moins d’eau cet hiver. Les conditions climatiques pluvieuses ont favorisé les éclosions du printemps et même en ce début du mois de juillet il y a encore quelques éphémères en journée. La limite a été la transparence de l’eau sans pour autant que cela soit un inconvénient pour les grosses truites qui continuaient à gober dans les eaux sales. Du coup, cela facilitait  leur approche et corrigeait nos erreurs. Bref un début de saison exceptionnel avec énormément de  petites éphémères olives. Pour les mouches de mai la saison a commencé bien plus tard vers le 22 mai (8-10 mai d’habitude) mais a fini aussi tôt vers le 8-10 juin. Malheureusement les plus grosses émergences ont eu lieu quand l’eau était chocolat, du coup finalement peut de poissons pêchables….mais des gros! Pour l’instant il ne fait pas assez chaud pour les hannetons mais on espère un petit coup de chaleur pour les rencontrer à la tombée du jour. Il y a eu aussi plus de sedge que d’habitude même si la plupart des poissons y sont restés insensibles!

Pour les brochets, on a fait une ouverture de folie au lac de la Madine et quelques jolie poissons sur les gravières le long de la Moselle. Dommage le bon temps pour les brochets est aussi le bon temps pour les truites, difficile alors de choisir Lol!

Pour résumer ce début de saison ci-dessous quelques vidéos déjà postées dans le poste vidéos gratuites sur le net, pour les photos vous pouvez aller voir sur notre instagram warrior fly fishing team. Il y a encore des disponibilités du gîte pour septembre, vu les niveaux actuels cela promet une belle fin de saison….

Merci et à bientôt.

Yannick

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C’est assez bizarre que pas plus de pêcheurs à la mouche ne s’intéressent à la carpe alors que sa pêche est devenue une institution avec du matériel conventionnel. Pourtant sa pêche avec un fouet présente de nombreux avantages: déjà c’est un poisson que l’on trouve partout sur le territoire français: qui n’a pas près de chez lui un plan d’eau ou un calme où elle n’est présente? C’est un poisson farouche qui se méfie de tout et sa pêche est plutôt subtile. Mon premier essai je l’ai fait avec des imitations de chironomes qui, s’ils ont l’avantage de plaire aux carpes, ne sont pas faciles à localiser en pêche à vue. Là j’ai retenté l’expérience avec une imitation de mie de pain (qui ne plait pas qu’aux carpes d’ailleurs) qui du fait de sa couleur blanche est bien visible. Sur un matériel léger, canne soie de 4 et bas de ligne en 14% ce fut un régal mais la bataille s’est éternisée (près de 40 min) un matériel un peu plus fort serait plus judicieux mais perdrait en délicatesse de poser. J’avais ouvert le réservoir l’année dernière pour les coups du soir à la carpe mais cela n’avait pas marché du fait du manque d’intérêt des pêcheurs, cette nouvelle prise me dit que c’est dommage car la carpe à la mouche c’est vraiment top. Du coup, dès qu’il fera un peu meilleur, je vais réessayer…

La gourmande a sucombé à un morceau de laine blanche:

à bientôt au Domaine du moulin neuf

 Bonjour,

Après pas mal d’essais suivi d’échecs, voici la vidéo de la prise de la truite marbrée par Ben* lors de notre séjour en slovénie (cliquer sur l’image):

http://dai.ly/atk2Dc

Avec un peu de recule, malgré les déversements intenpestifs de truite arc-en-ciel c’est une super destination pêche qui peut satisfaire beaucoup de pêcheurs à la mouche, je regrette simplement qu’il n’y ait pas une sectorisation des parcours avec et sans déversement pour orienter le pêcheur suivant ce qu’il désire ou son niveau de pêche.

*vous avez remarquer il dit "c’est ma plus grosse truite de l’année…pour l’instant", j’attends avec impatience de voir pour les 6 derniers mois…

à bientôt.

Domainedumoulinneuf.com